Polynésie française

Vous êtes ici

Polynésie française

Images:

Cliquez pour agrandir l'image

Baie de Cook à Moorea, île soeur de TahitiPhoto : Tim Mac KennaAvec environ 121 îles, la Polynésie française s’étale sur 2 500 000 km² soit l’équivalent de la surface de l’Europe. Elle est composée de cinq archipels : l’archipel de la Société, avec les Îles du Vent (Tahiti, Moorea et Tetiaroa) et les Îles Sous le Vent (Raiatea, Tahaa, Huahine, Bora Bora et Maupiti) ; l’archipel des Marquises avec une douzaine d’îles, l’archipel des Australes avec cinq îles hautes ; l’archipel des Tuamotu, l’archipel des Gambier. Clipperton est une île de 2 km² située plus à l’est, faisant partie du domaine public de l'État dont l'administration est déléguée au haut-commissaire de la République en Polynésie françaiseSurfaces terres émergées : 4 200 km²Surface de la Zone Economique exclusive : 4 804 000 km² Population : 249 000 habitants Statut : collectivité d’outre-mer régie par l'article 74 et dotée de l’autonomie.Papeete est à 15727 km de Paris.
Cliquez pour agrandir l'image

Paysages des MarquisesPhoto : Tim Mac KennaLa Polynésie française est si étendue que chaque île ou archipel présente une biodiversité particulière, avec des espèces endémiques propres. Si les inventaires de biodiversité des milieux coralliens sont relativement complets en revanche la connaissance du milieu terrestre est encore fragmentaire et doit être poursuivie. Les plantes vasculaires regroupent environ 893 espèces indigènes dont 554 espèces et 11 genres endémiques soit un taux d’endémisme d’environ 58 %. Le gouvernement de la Polynésie française a fixé la liste des espèces végétales et animales vulnérables, en danger, rares ou d’intérêt particulier.
Cliquez pour agrandir l'image

L’étoile de mer Acanthaster planci prédateur du corailLa biodiversité remarquable de la Polynésie française est soumise à différentes pressions et menaces, telles que la destruction d’habitats, la sur-exploitation, les invasions biologiques et le changement climatique. En conséquence, elle présente un grand nombre d’espèces en danger de disparition ou éteinte. Plusieurs de ces espèces ont une forte valeur culturelle ; certaines plantes sont utilisées en pharmacopée ou lors de rituels. Dans ce contexte insulaire le premier facteur de diminution de la biodiversité est lié à l’introduction d’espèces envahissantes ou à la pullulation d’espèces comme l’Acanthaster planci dévoreuse de corail et aussi dangereuse pour l’homme car ses piquants provoquent des douleurs violentes et des infections longues à guérir.
Cliquez pour agrandir l'image

Culture d'huîtres perlières au centre Ifremer du PacifiquePhoto : Olivier Dugornay/ IfremerPremière source économique à l’exportation, en Polynésie française, la perliculture est une activité traditionnelle dans les atolls des archipels des Tuamotu-Gambier et dans quelques îles de la Société. En 2011, la perliculture fête ses 50 ans d’existence ! En raison de son intérêt socio-économique, l’huître perlière fait l’objet de nombreuses recherches où s’expriment différents partenariats comme l’Université et les organismes de recherche, coordonnés par le Service de la Perliculture.

La ponte du corail a eu lieu ! Retrouvez la vidéo de la ponte du corail et de la table-ronde du 26 novembre dans la rubrique Paris-Nouméa.

L'ANNÉE DE L'OUTRE-MER

L'année de l'Outre-Mer sera mise à l'honneur au Muséum national d'Histoire naturelle en 2011.

Formulaire de recherche

Vous êtes ici

Polynésie française